Camping Ile aux Loisirs

Prairies humides et pelouses calcaires sèches, voilà une balade toute en contrastes dans ces deux espaces naturels : la Prée
de la Charente et les chaumes de Sèchebec, sites inscrits au réseau Natura 2000.

1. Se diriger vers la mairie, emprunter la troisième route à gauche puis continuer par la route à droite pour arriver dans le hameau de l’Éguille. Tourner à gauche.
2. Emprunter le chemin à droite et franchir l’Agnet. À la Salle tourner à droite, traverser la D124 et pénétrer dans les Chaumes de Séchebec.
Poursuivre vers le nord.
3. Continuer à suivre à droite la clôture qui entoure le pacage des moutons entretenant le site.
4. Avant la D124 s’engager sur le chemin à gauche puis s’enfoncer en sous-bois à gauche par un étroit passage. À la sortie suivre le chemin de terre à droite entre bois et cultures (à gauche du chemin, une borie, construction en
pierres sèches XVIIIe siècle). Traverser le chemin bitumé et arriver à un embranchement.
5. Suivre le chemin à droite, tourner à droite et traverser la D124. Passer la Coutancerie, Monmoine puis bifurquer à gauche sur le chemin herbeux. Prendre la route à gauche.
6. Descendre à droite dans le vallon du Bertet puis remonter à Vaufraîche. Suivre la rue à droite puis redescendre à droite dans le vallon. Franchir le ruisseau et le longer à gauche.
Prendre la route à droite, passer Chez Coutant, Chez Bertet et gagner le croisement de la Grève.
En cas d’inondation continuer par la petite route en face
(pointillés rouges).
7. Descendre à gauche, franchir le passage à niveau et continuer vers la Charente avant de la longer à droite. Passer sous le pont de l’A 837.
8. Suivre à droite le chemin parallèle au viaduc sur 500 m.
9. Passer sous l’autoroute et rejoindre l’église d’Agonnay.

Les carrières exploitées jusqu’au début du XXe siècle furent ensuite utilisées pour la culture des champignons.

Pour la plupart souterraines, avec des galeries importantes dans le bourg de Saint-Savinien, plus modestes dans les autres carrières des bois environnants. Les pierres de meilleure qualité étaient expédiées par bateaux à fond plat : les gabares. Les autres étaient vendues sur place.
1 - Traverser la Charente, tourner à gauche sur le quai. Par le rue des Échelles de Pierre monter vers l’église. Descendre à gauche le long des falaises (anciennes carrières). Traverser la D114 et continuer en longeant le mur du château de Forgette. Continuer sur un chemin, passer sous la voie ferrée. Tourner à droite devant Chez Coutant.

2 - Emprunter un sentier longeant le Bertet. Monter à Vaufraîche et gagner Monmoine et le Coutancerie. Traverser la D124 et suivre un chemin blanc abordant une zone boisée.

3 - À l’embranchement en sous-bois tourner à droite et poursuivre sur des chemins de terre jusqu’au bois de Chez Brard en traversant la D114.

4 - S’approcher à gauche des carrières de l’Héraudière. Dépasser un carrefour de routes, continuer sur un chemin herbeux. Passer au nord de la ferme de Tribossard et entrer dans le bois de la Grande Borne. Tourner à droite et à gauche au carrefour suivant.

5 - Au lieu-dit Bois Vachon conserver la même direction jusqu’au deuxième carrefour (« Bois d’Alais »). Tourner à droite sur un chemin qui va se dégager des bois et atteindre les Auzes. Traverser le hameau. En bas tourner à gauche et franchir le ruisseau (le Charenton). Traverser un pré, monter le long de la falaise. Continuer sur un chemin dominant le vallon.

6 - Descendre brusquement jusqu’au Charenton (le lavoir est à gauche). Tourner à droite pour longer le Charenton. Monter au moulin à vent de Quins Bas et accéder à l’église. Redescendre vers la Charente.

Des générations de carriers ont vécu dans ces habitations semitroglodytes et exploité le sous-sol. Au Moyen-Âge par exemple la pierre de Saint-Savinien embarquait pour de lointaines destinations, vers le nord, l’Allemagne, la Belgique. Elle a été employée pour la cathédrale Sainte-Gudule à Bruxelles mais aussi le Pont de Pierre à Bordeaux ou des bassins et quais portuaires à Londres. Les carrières, nombreuses dans les environs de Saint-Savinien, sont aujourd’hui classées Natura 2000 pour protéger ces sites majeurs pour l’hivernage des chauve-souris (1400-1600 individus appartenant à 18 espèces).

Village pittoresque, balade le long du plus court affluent rive droite de la Charente puis un petit tour dans les bois.

Le petit ruisseau du Charenton qui coule dans une large vallée taillée dans le calcaire fut canalisé pour alimenter deux moulins.
Les chênes verts et les filaires, essences méditerranéennes se sont développées sur ce terrain calcaire où la roche affleure.

1. Traverser la Charente et tourner à gauche sur le quai. Emprunter à droite la rue des Échelles de pierre (belle vue sur la Charente). Longer l’église et passer dans une ruelle. Suivre à droite la rue rencontrée (rue des Barrières) jusqu’au passage à niveau. Traverser la voie ferrée et emprunter à droite un chemin herbeux qui descend au moulin de Quins (en face les falaises où l’on distingue les entrées d’anciennes carrières de pierre).

2. Au moulin descendre par les escaliers de pierre jusqu’au pont sur le
Charenton. Suivre à gauche le chemin le long du ruisseau (canalisé,
l’écoulement naturel est à gauche à l’extrémité des cultures). Avant le
lavoir de Barbaras (lieu de pause agréable) tourner à gauche. Franchir
le ruisseau, monter à hauteur de la falaise. Longer la petite route à droite. Continuer sur un chemin (dans la prairie voir le puits taillé dans la falaise). Prendre à gauche sur la route.

3. Au carrefour des routes étroites laisser le GR à partir à droite (vers Fenioux). Suivre alors le balisage jaune (on retrouve le Charenton qui passe sous une maison (ancien moulin)). Après un virage à gauche de la route monter à droite sur un sentier en sous-bois. Arrivé en lisière suivre à droite un large chemin.

4. Éviter une route en repartant à droite dans un chemin forestier. Dépasser
le premier carrefour de chemins, tourner à droite au carrefour
suivant et continuer dans le bois d’Alais.

5. Suivre le sentier de droite. Il se dégage des bois et parvient en zigzaguant
au hameau des Auzes. Le traverser et descendre jusqu’au Charenton.
Tourner à gauche et retrouver le cheminement pris à l’aller.

Le « village sur une hauteur entouré de bois », telle est la traduction d’Arcantiacum, ancien nom celtique d’Archingeay.
Les fontaines sont nombreuses dans les environs. Celle de la Vallée eut même une réputation de fontaine guérisseuse.

1 - Traverser le bourg en direction de Saint-Savinien en passant devant la « la Maison de Lisette ». Emprunter la première route à droite vers la Vallée. Deux fontaines sont situées dans les champs de part et d’autre du chemin.Celle de gauche aurait été une fontaine thermale connue des romains. Des monnaies de bronze datant le l’empereur Constantin (IVe siècle) y ont été trouvées et dans le champ de nombreux fragments de tuiles gallo-romaines. L’autre fontaine (à droite de la route) a beaucoup servi comme source et comme lavoir.

Tourner à gauche devant le château de la Vallée.

2 - Traverser la D122, aborder Chez Goron. Continuer dans un chemin herbeux. Après le ruisseau le Pépin monter jusqu’à un carrefour près de la Belle Aigrie. Avant les bâtiments repartir à gauche et franchir deux vallons. Sur le coteau suivre à droite sur un chemin herbeux jusqu’à Serpolet.

3 - Tourner à droite puis à gauche sur route et traverser la D114 pour emprunter en face un chemin en sous-bois. À l’embranchement dans les carrières de la Héraudière bifurquer à gauche pour les traverser (ne pas s’écarter du chemin : danger d’éboulement dans les anciennes carrières.)

4 - Au carrefour continuer tout droit sur une petite route. Emprunter à gauche un chemin empierré vers Charnais. Traverser le hameau à gauche. À la dernière maison continuer sur un chemin qui descend en sous-bois vers Fontaudet.
5 - Suivre la route qui s’élève légèrement jusqu’au lieu-dit les Groies (moulin disparu). Prendre à droite dans le bourg la rue du bourg jusqu’à l’église.

L’église Saint-Martin a conservé une abside datant du XIIe siècle qui contient parmi ses modillons sculptés un joueur de harpe et, motif très rare, une femme en couche. La porte sud est probablement en remploi de la façade occidentale incendiée.
Le clocher roman s’appuie à l’intérieur sur des massifs de douze colonnes surmontées d’une coupole sur trompe.

Signe d’une importante seigneurie, le château de Bois Charmant a, dans l’ensemble, été peu modifié depuis 1605. Serait-il
bâti sur l’emplacement de la villa du poète gallo-romain Ausone ?

1. Passer devant le portail de l’église et suivre la rue qui descend (vue sur le
château de Bois-Charmant).
Tourner à droite et descendre jusqu’au ruisseau. Le chemin remonte dans
un bois.
2. À la sortie du bois se trouvent les vestiges d’une motte féodale. Pour les
voir suivre à droite la lisière et entrer dans le bois : un tertre imposant
témoigne de l’existence d’un château du début du Moyen-Âge.
Continuer jusqu’à une route étroite, la suivre sur 50m. Repartir à gauche
vers le bois et le traverser. Tourner à droite puis à gauche avant Chez Guérin.
3. Continuer sur un chemin et gagner la Vitrerie. Suivre le chemin à gauche.
Il passe en lisière puis en sous-bois.
4. Emprunter à gauche le chemin rencontré. Conserver la même direction sur
une route passant devant le logis de la Matassière. Suivre la route à droite.
5. Après la route d’accès au château de Bois-Charmant tourner à gauche sur
un chemin de terre (belle vue sur le château). Continuer tout droit, le chemin
remonte au bourg des Nouillers.