Camping Croas an Ter

Selon les archives, le moulin daterait de 1535. Cessant de fonctionner en 1936, il tombe peu à peu en ruines. Il est restauré par une association grâce à l'apport de pierres de vieilles maisons environnantes.

La partie technique est confiée à Jean Paillet. Son mécanisme complet lui permet de moudre depuis 1994.

Visites sur réservation en été les vendredis, samedis et dimanches de 17h à 20h - tél. 02.98.71.51.10

Datant du XVème et XVIIème siècle, cette authentique chapelle ancienne a su allier le moderne à l'antique en intégrant dans les réseaux de pierre de ses baies, les vitraux d'artistes du XXème siècle, Messieurs Manessier et Le Moal. Cette chapelle, surnommée "la balladeuse" ou encore "chapelle des artistes", fut transportée pierre par pierre de Nizon en 1956. ouverte au public durant les offices, et les permanences en été.

Consacrée au mystérieux Saint-Théa, l'église était le centre de la très pauvre paroisse de Lothéa, supprimée en 1791. Après l'arrêt du culte en 1949, la chapelle tomba en ruine. En 1985, une équipe de bénévoles aidés par le général de la Villemarqué releva le défi de sa reconstruction. Une équipe se monte alors et un comité de sauvegarde se lance dans la reconstruction de l'édifice. De nombreux bénévoles se mettent à l'ouvrage. Année après année, la chapelle a retrouvé des murs, un toit, des vitraux et son pardon traditionnel le dimanche de la Trinité. L'édifice accueille également des manifestations culturelles variées … Elle accueille aujourd'hui des offices et des manifestations culturelles.

Maison seigneuriale de l´ancienne paroisse de Lothéa, Québlen s´élève non loin d´un méandre de la Laïta, à l´ouest d´un ancien site fortifié. Le colombier semble dater du XVIe siècle. Une cheminée du logis porte la date de 1637, période qui pourrait correspondre à certaines transformations faites pour Jean Le Roy de Keralno, propriétaire de Québlen.
Le logis à un étage est couvert d´un toit à croupe, à l´exception de la tour d´escalier octogonale, coiffée d´un toit polygonal et de l'aile de retour, avec toit à longs pans et pignon découvert. L'aile en retour du logis comporte trois niveaux occupés respectivement par un cellier (ou cave) et deux chambres superposées dont celle de l'étage conserve une fenêtre avec meneau et traverse.

Cette chapelle construite en l'honneur de saint Philibert est aussi dédiée à saint Roch depuis les épidémies de peste du Moyen Âge. Il semble qu'en raison du retour d'une relique de saint Philibert donnée par le curé de Tournus, où ses reliques avaient été mises en sécurité vers 875 lors des invasions normandes, le saint fondateur ait supplanté le saint guérisseur. L'édifice porte sur l'aile sud la date de sa restauration en 1599 et le nom du maître d'œuvre Henry Corn. Construit sur un plan en forme de tau, il comprend une nef de cinq travées avec bas-côtés s'élargissant au niveau de la cinquième pour former deux ailes alignées sur le chevet. La courte flèche à crochets est soutenue par les colonnes de la chambre des cloches. L'usage des bancs de pierre sous le porche était réservé, semble-t-il, aux lépreux qui n'avaient pas le droit de se mêler à la population, aux notables afin de discuter des affaires de la paroisse après la messe, et encore aux mendiants et aux infirmes venus solliciter la générosité des fidèles à la sortie des offices.

Cette église est un édifice gothique située place Saint Michel. Elle a été édifiée en deux phases, à la fin du XIIIème siècle pour la nef. En 1373, l'église est ruinée par Du Guesclin.
Le choeur, le clocher et les porches (notamment le magnifique porche nord), sont reconstruits au début du XVème siècle par le mécénat du Duc Jean V, c'est un bel exemple du style gothique flamboyant, qui a rencontré beaucoup de succès en Bretagne.
L'église conserve les plus anciennes sablières datées de Bretagne (1430) ainsi qu'une riche statuaire vierge, sirène...Cette église est un édifice gothique située place Saint Michel. Elle a été édifiée en deux phases, à la fin du XIIIème siècle pour la nef. En 1373, l'église est ruinée par Du Guesclin.
Le choeur, le clocher et les porches (notamment le magnifique porche nord), sont reconstruits au début du XVème siècle par le mécénat du Duc Jean V, c'est un bel exemple du style gothique flamboyant, qui a rencontré beaucoup de succès en Bretagne.
L'église conserve les plus anciennes sablières datées de Bretagne (1430) ainsi qu'une riche statuaire vierge, sirène...

Cette allée couverte, orientée nord-est, sud-ouest, révèle une structure complexe comprenant seize piliers, dont deux manquent, et sept tables. Elle atteint environ 17 mètres de long, 3,5 mètres de large et ne dépasse pas 1,40 mètre de hauteur dans sa partie la plus élevée. Une urne cinéraire, des monnaies et de la sigillée découvertes lors des fouilles menées en 1882 révèlent l'existence d'une présence romaine et la réutilisation de cet ensemble en sépulture. Une légende raconte que l'allée couverte était la demeure de korrigans qui invitaient les personnes âgées ainsi que les hommes se rendant au moulin à danser autour du monument.

Abbatiale Sainte-Croix, classée Monument Historique. Eglise romane du XIe siècle, l'une des plus remarquables de Bretagne. Son plan circulaire, son choeur des moines, sa crypte sont des "sommets de l'Art Roman".
A ne pas manquer : la plus ancienne mise au tombeau de Bretagne (autour de 1500) et le grand retable de calcaire, oeuvre majeure de la Renaissance (1541).

Ouvert toute l'année 9h-20h.

Ville historique au patrimoine unique, vous y découvrirez des monuments exceptionnels : Abbaye Sainte-Croix, Hôpital Frémeur ou encore Maison des Archers.

Depuis un certain nombre d'années, Quimperlé fait la part belle à l'art, du classique au plus contemporain. Les artistes sont invités à exposer dans des lieux chargés d'histoire : la Chapelle des Ursulines, le Présidial, la Maison des Archers...
Quimperlé est un carrefour de randonnées où passent les GR 34E, 34I en provenance du sentier côtier, le célèbre GR 34.
Les chemins de Saint-Jacques de Compostelle provenant de Locquirec et du Conquet s'unissent à Quimperlé. Ils y font une halte pour y apprécier les fleurons de son patrimoine architectural avant de repartir vers Vannes.

Au contact d'une nature intacte, les parcours s'introduisent dans les superbes vallées de l'Isole, de l'Ellé ou du Scorff. Ils se font aussi plus intimistes dans les profondeurs de la forêt de Carnoët, plus vaste massif boisé de la Cornouaille (800 hectares) et trait d'union entre Quimperlé et l'océan. Ces sentiers se visitent en toute liberté, aux quatre saisons...

Cette demeure de notable du XVIe siècle, témoin important de l’habitat urbain, tire son nom des flèches, symbole du martyre de Saint Sébastien à qui une chapelle, située à proximité et aujourd’hui disparue, était dédiée. Au XVIIe siècle, trois générations de notaires, les Gourhael, vivent dans cette demeure transformée au début du XXesiècle en école privée puis léguée à la Ville de Quimperlé. Haute de trois étages, cette maison est dotée, au rez-de-chaussée et aux étages, de cheminées en granit et de remarquables poutres.L’étage supérieur, en encorbellement sur une sablière, est composé d’un gracieux entrelacs de bois verticaux et de poteaux raidisseurs disposés en épi dont le dessin ainsi formé est appelé brin de fougère.

E X P O S I T I O N: Michel THERSIQUEL du 28 mai au 9 octobbre (photographies couleur)

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Fort coupé au milieu de l'eau
Y aller à marée basse

Le peuplement dès l'époque néolithique du territoire de l'Aven-Bélon nous a laissé de nombreuses traces de cette présence humaine : stèles, allées couvertes et dolmens. A voir (entre autres) : les allées couvertes de Kergoustance, de Kercordonner, de Kermeur Bihan et le menhir de Bellevue à Moëlan-sur-Mer, l'allée couverte de Kérantiec à Riec-sur-Bélon