ROMANEE L'Orée de Deauville

Au coeur de la Côte Fleurie, le mont Canisy rompt avec l'urbanisation balnéaire. Sa proximité immédiate avec Deauville et son exposition au sud-ouest en ont fait un lieu convoité.
Le site offre une collection de points de vues exceptionnels sur la Côte Fleurie et le nord du Pays d'Auge : marais de la Touques, collines augeronnes, falaises des Vaches Noires et bien évidemment les stations balnéaires de la Côte Fleurie.
Quelques places de parking sont disponibles route de Canisy, à Bénerville-sur-Mer.

Le cimetière militaire de Tourgéville est la propriété de la commission des tombes de guerre du Commonwealth qui en assure un entretien. Créé en 1918, il a été aménagé en 1920. Sa concession perpétuelle par la France au Royaume-Uni a été prévue par loi du 29 décembre 1915 (décret d’application 25 novembre 1920) afin que ce dernier puisse y faire inhumer les soldats tombés sur le sol français, notamment les militaires décédés dans les établissements hospitaliers de l’armée britannique installés à Trouville-Deauville : à partir de juin 1917 d’un Camp sanitaire "anglais" sur le Mont-Canisy, puis à partir d'octobre 1917 un 14e camp de convalescents à Trouville-sur-mer et au même moment une flotte de chalutiers à Deauville. Il est devenu important à la suite de l’établissement, en février 1918, du secteur hospitalier de Trouville-sur-mer qui engloba ultérieurement les 72e, 73e, 74e hôpitaux généraux, et les 13e, 14e et 15e camps de convalescents.

A l'issur de la Première Guerre mondiale, s’y alignaient 293 tombes de soldats morts en camp, soit de leurs blessures, soit pour plus d’un tiers de la grippe espagnole : 209 tombes de soldats du Commonwealth, 24 tombes de soldats américains (relevées en 1932), 57 tombes allemandes (prisonniers) et 3 tombes civiles.

Aujourd'hui, le cimetière rassemble des sépultures des deux dernières Guerres mondiales, des combattants amis ou ennemis, soit un total de 315 tombes : 209 sépultures de soldats du Commonwealth dont 19 marins, soldats et aviateurs, 8 soldats de l’Australie, 8 du Canada, 1 de Nouvelle Zélande, 13 tombes de soldats alliés de la Seconde Guerre mondiale, 90 prisonniers Allemands, et 3 civils (une infirmière et deux civils du Royaume-Uni).

Il reste un lieu calme, paisible et bien entretenu. Certaines stèles présentent un bout arrondi ou pointu afin de différencier les tombes britanniques et allemandes : des soldats des deux camps dans le même cimetière, un beau geste de paix et un lieu d'histoire pour ne pas oublier...

Ferme bio, exploitation typique du Pays d’Auge. Production BIO depuis 1998.

Jus de pomme, poire, cidre, poiré, cerises, Calvados et Pommeau.



Des colombages, des vaches et des pommiers... Ferme typique du Pays d'Auge à 3 km de la mer. Production des pommes et transformation sur place. En AOP depuis 1997.



Le sol, le climat et les hommes du Pays d'Auge composent sans doute le meilleur terroir possible pour la pomme à cidre. Les pommes récoltées sur la ferme sont brassées sur place pour produire les différents cidres. Le cidre à distiller, une fois sa fermentation alcoolique achevée, est "bouilli" à la ferme. L'alcool obtenue vieilli tranquillement sur place, en petits fûts de chêne. Nous vendons sur place, en vente directe.



Propose aussi chambres d'hôtes et location depuis 1983.

Le site naturel protégé du Mont Canisy domine la mer de ses 110 m. De 1935 à 1940, la Marine Nationale y installa deux batteries devant concourir à la sécurité de l'estuaire et du Port du Havre. Puis, de 1942 à 1944, ce site devint un maillon important du « Mur de l'Atlantique ». Divers éléments (casemates, encuvements, ouvrages fortifiés reliés par une galerie de 250 m de long…) subsistent.



Des visites guidées gratuites sont organisées régulièrement par l'association "Les Amis du Mont-Canisy".



Colline chargée d'histoire, tour à tour fief seigneurial morcelé en 1793, poste de défense anti-sous-marins en 1917-1918, batterie côtière entre 1935 et 1940, point d'appui d'artillerie le plus important du “Mur de l'Atlantique” entre Cherbourg et le Havre de 1941 à 1944, sa position face au Port du Havre et à la baie de Seine lui vaudra, lors du dernier conflit mondial, d'être transformée en forteresse de béton.



De cette dernière époque subsistent de nombreux vestiges : casemates et encuvements pour canons de 155mm, bunkers-abris, tobrouks de protection, poste de direction de tir...

Mais l'élément le plus attractif des visites guidées demeure l'ouvrage souterrain, avec ses 250 m de tunnel, 25 alvéoles de casernement, six escaliers permettant l'accès en surface, 25 soutes à munitions,... à 15 m sous terre, un ouvrage unique sur plus de 150 km de côtes Normandes !

Pourquoi ne pas faire une pause de vélo pour 1h de chevauchée sauvage sur la plage ou dans le marais de Blonville-sur-Mer. Le centre équestre, labellisé École Française d’Équitation, est ravi d'accueillir les novices, amateurs et cavaliers confirmés. Avec une trentaine de chevaux, double-poneys et shetlands dans les écuries, le centre est ouvert toute l'année 7j/7.



Les écuries bénéficient d'une excellente situation géographique pour profiter des sorties collectives et privées dans le Marais de Blonville-Villers ou sur les hauteurs du Mont-Canisy (accessibles dès 12 ans). Les balades sur la plage, à deux pas du club, sont également très prisées (minimum galop 2).



Vincent Pawlowski gère avec passion ce centre équestre depuis juillet 2015. Il y a 20 ans, il a décroché son tout premier poste à Deauville avant de créer son propre club à Pont-l’Evêque. Une époque à laquelle il se consacre à la compétition. Il remporte notamment le championnat de Normandie de Hunter (saut d’obstacles).



Source: InDeauville

www.indeauville.fr/loisirs/centre-equestre-de-blonville-sur-mer